Véritable phénomène littéraire de cette rentrée, le jeune toulousain normalien Tristan Garcia a écrit dans La meilleure part des Hommes une étrange ôde aux années 80, autour d'une ralation amoureuse entre le fondateur d'une association homosexuelle de lute contre le Sida et un écrivain barabaker complètement déjanté et pitoyable... toute ressemblance avec qui vous savez est pûrement fortuite (il a osé le prétendre !) En attendant, le jeune homme est encenssé par les média et en lice pour les prix littéraires...
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